À l’insomniaque paradisiaque
Qui, en ce tôt matin, compose ces vers,
Bonjour et bienvenue.
J’ouvre le seuil
À l’ennui matinal
Qui emplit la feuille
De mépris intestinal.
À vider mes entrailles
D’une soirée trop arrosé
À jouer au névrosé
Au couteau des entailles.
Enfin, je te vois
Prends ma main
Et à demain
Fuis moi, je te crois.
Bonjour et bienvenue !