Vrille, vrille, vrillent,
Au cortex qui oscille
Les idées qui scintillent
La pensée qui vacille.
C’est enfin que je vrille,
Au sommeil de marteau,
Il est temps que je brille
Où l'azur est bateau,
À l’étoile morille,
Un chemin nécrosant
Et l'entourage présent.
Brille, brille, brille,
De ma volonté nue,
Je franchis l’inconnu.